Si la question avait le mérite de la diplomatie, la réponse est brutale: non! La Veveyse ne veut tellement pas entendre parler d’une commune unique qu’elle a refusé dimanche l’étude de faisabilité sans engagement. Probablement par peur de mettre le doigt dans un engrenage dont elle ne pourrait peut-être plus sortir.
Une grande fusion avait pourtant des arguments: uni, le plus petit district du canton s’offrait une belle occasion de gagner du poids. Et à l’heure où l’aménagement du territoire doit se penser au niveau régional, il aurait pu se doter d’outils performants. Une étude de faisabilité aurait en tout cas permis de tout mettre à plat afin de pouvoir décider en connaissance de cause. Une occasion manquée, dommage.
Un élément, dont personne ne se plaindra, a forcément joué un rôle:…