Eh bien voilà: c’est fini... Comme chaque fois, la Coupe du monde a monopolisé l’attention. Petit retour parfaitement subjectif sur des événements marquants.
Bien au-delà de la chance
Sans connaître la défiance d’Aimé Jacquet en 1998, Didier Deschamps n’avait pas vraiment la cote en début de Coupe du monde. Certes, il a la réputation d’avoir la baraka et, en amenant les Bleus en finale de l’Euro, il a démontré sa maîtrise des paramètres d’un grand tournoi. Mais il gardait une image de coach frileux, défensif, froidement pragmatique, pendant que l’ombre flamboyante de Zidane commençait à s’étendre sur les Bleus.
Au final, Deschamps a réussi son coup et la comparaison avec Jacquet semble naturelle. Alors que, s’il fallait lui trouver un mentor, il aurait pour nom Marcello Lippi, son coach…