Samedi cinéma

sam, 15. déc. 2018

Ce n’est pas si beau, une ville la nuit

MORTAL ENGINES. On a aimé Peter Jackson quand il avait l’audace délirante de la jeunesse (Bad taste et Brain dead) ou sa maîtrise du film dramatique (Créatures célestes), sans parler du chefd’œuvre absolu qu’est la trilogie du Seigneur des anneaux. Et puis? Un King Kong ampoulé, s’acharnant dans la surenchère. Un Hobbit poussif et sans substance. Ce Mortal engines allait-il prendre cette dangereuse pente à revers? Même s’il laisse la caméra à son responsable des effets spéciaux Christian Rivers, on sent la patte Jackson sur chaque plan. Il faut dire que l’homme est autant à la production qu’à l’écriture. Disons-le d’emblée, le film suit le chemin emprunté ces dernières années: c’est beau, mais vide.

L’histoire était pourtant prometteuse: au IIIe…

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