Contrairement à ce que nous écrivions dans notre édition de jeudi à propos des derniers rebondissements judiciaires dans l’affaire des peintures murales du bâtiment Le Moderne, à Bulle, Pierre Mauron n’est l’avocat que des artistes, Massimo Baroncelli et les héritiers de Jacques Cesa. Il ne défend pas la Préfecture de la Gruyère.