Une décision, un événement, un surmenage… et tout bascule. Cette vie qu’on croyait toute tracée prend une autre voie. Jean-Paul Glasson a vécu cela, abandonnant de façon abrupte sa carrière politique. A Berne en 2007, puis à Bulle en 2009.
JEAN GODEL
Avec Jean-Paul Glasson, difficile de savoir quel jour tout a basculé. Le 11 avril 2007, quand le syndic de Bulle et conseiller national radical, pressenti pour le Conseil des Etats, annonce que, surmené, il se retire de la campagne pour les Fédérales de l’automne? Ou le 15 octobre 2009, quand il prend tout le monde de court en démissionnant du Conseil communal de Bulle?
«Finalement, je crois bien que c’était le 14 août 2017, quand j’ai été victime d’une pancréatite aiguë. Parce que ce jour-là, j’ai vraiment eu peur.» Deux ans après, tout va…