Samedi cinéma

sam, 17. aoû. 2019

Réel comme un conte de fées

ONCE UPON A TIME IN HOLLYWOOD. Un titre comme un début de conte de fées. Ou comme la suite de la trilogie de Sergio Leone (Il était une fois dans l’Ouest, Il était une fois la révolution et Il était une fois en Amérique), avec cette même idée d’embrasser un monde en un seul film. Et le monde, pour Quentin Tarantino, c’est le cinéma. C’est là qu’il s’agite et qu’il joue depuis toujours. Il fallait bien qu’un jour un de ses films prenne cet univers pour sujet.

Il était une fois à Hollywood, donc. «Une fois», ici, c’est 1969, l’année de Woodstock et de la fin de l’innocence. La télévision et le cinéma s’apprêtent à entrer tous deux dans des temps nouveaux. Les hippies ont des poils sous les bras et de l’acide dans les veines, leur utopie tourne aigre, à l’image…

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