Désormais, on s’associe pour reprendre un ou plusieurs établissements publics.
Une manière de répartir les responsabilités et les risques d’un métier toujours plus complexe.
A Bulle, par ailleurs, le Tonnelier va bientôt sortir de sa léthargie et L’Union changer de main.
JEAN GODEL
Le phénomène n’est pas nouveau, mais la tendance est à la hausse: de plus en plus d’établissements publics de la région sont gérés par des associés qui possèdent plusieurs adresses. Comme si le modèle du bistrot de village tenu par son patron n’avait plus la cote. Des exemples? Rien qu’à Bulle, c’est le cas pour le Buro et la Promenade, pour le 43 et le Tonnelier – dont la rénovation va bientôt commencer (lire-ci-dessous) – ou encore pour L’Indus et L’Après auxquels viendra se joindre L’Union dès janvier. En…