Pixels et caetera

sam, 16. nov. 2019

LONDON FOR EVER. 6-4 6-3 contre Novak Djokovic, ce qui lui ouvre le chemin de la demi-finale au Masters de Londres. Souhaitons-lui la victoire, à Roger Federer, mais après… il devrait raccrocher. Pour son bien, et le nôtre. Car de toutes les bonnes raisons qui le poussent à mettre fin à sa carrière de champion exceptionnel, il y a celle-ci, plus philosophique, existentielle, même. Et cette raison est simple. En continuant sur les courts, Roger Federer nous place dans un présent continu, un présent sans fin, un temps qui n’a pas de début et ni de fin, comme s’il avait été toujours là et le sera toujours. Or, ce présent sans fin est la pire des condamnations que nous pouvons subir, celle qui nous pousse vers l’angoisse, et la compensation de cette angoisse se fait par la consommation à…

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