Samedi cinéma

sam, 16. nov. 2019

Dans le café de sa jeunesse perdue

LA BELLE ÉPOQUE. Même quand il faisait le pitre provocateur à la télé, il fallait lui laisser une qualité: Nicolas Bedos a le sens du verbe et de la vanne. Et il est bougrement intelligent. Ce qui fait déjà trois qualités. A l’évidence, il ne les a pas perdues une fois devenu réalisateur: La belle époque, son deuxième long métrage après Monsieur et Madame Adelman (2017) se révèle troublant, émouvant, plein de verve. Et bigrement intelligent.

La belle époque, pour Victor, c’était les années 1970. Celles où on lisait de vrais livres, où les gens étaient à table sans regarder leur téléphone portable, où ses dessins de presse trouvaient preneur. Où il était plus jeune, surtout. Ce sexagénaire bougon se morfond dans notre XXIe siècle et finit par exaspérer…

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