L’Opéra des champs retrouve le public gruérien vendredi et dimanche avec LaCenerentola de Gioachino Rossini. Comme à son habitude, le metteur en scène Jérôme Maradan a créé un univers enchanté, bourré de références populaires. CLAIRE PASQUIER
OPÉRA. L’influence des années 2000 est suggérée dès la première scène: les portraits dans les tableaux s’animent comme ceux des couloirs de l’école d’un célèbre jeune sorcier. A coups de clins d’œil à Harry Potter, Aladin, Tarzan ou Le Seigneur des anneaux, Jérôme Maradan rappelle qu’il n’est pas issu du milieu classique. Et que depuis quatorze ans, il est investi d’une mission bien précise dans la mise en scène de l’Opéra des champs: que le public ne s’ennuie jamais. Ce week-end à CO2, il dépoussière donc Cendrillon (La Cenerentola) et livre un…