Tous les artisans qui vendent des cosmétiques sur internet ou dans des points de vente devront d’ici avril se soumettre à une réglementation contraignante. Elle inclut un test d’innocuité par un toxicologue. Le consommateur doit en ressortir gagnant.
PRISKA RAUBER
LÉGISLATION. Nanoparticules camouflées, perturbateurs endocriniens ignorés, expérimentation animale, la cosmétique industrielle a de moins en moins la cote. Le consommateur entend reprendre le contrôle de ce qu’il applique sur sa peau. Il se tourne ainsi vers des produits simples, responsables, bio, locaux, vers la cosmétique artisanale. Le nombre de petites entreprises a d’ailleurs explosé ces cinq dernières années. Les plus amatrices d’entre elles vont devoir passer en mode professionnel.
A fin avril en effet, la révision…